Foire aux questions
Vous trouverez ici les réponses aux principales questions que vous vous posez sur le solaire agrivoltaïque ainsi que sur les énergies renouvelables en général. Plus particulièrement, des réponses pourront être apportées sur le projet solaire agrivoltaïque de Donzy.
La FAQ est régulièrement alimentée à partir des questions que vous nous posez lors des événements de concertation.
Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question :
La société Energiter
Nous sommes environ 40 personnes réparties sur toute la France.
Notre siège est basé à Montpellier et nous avons également des bureaux à Paris, Rennes et Grenoble.
Le projet agrivoltaïque de Donzy
Le projet ne se fera que sur des pâtures, pour un cheptel de vaches laitières (Prim Holstein) et un cheptel de race à viande (Highland Cattle). L’intérêt des panneaux pour l’élevage est notamment l’apport d’ombre pour les animaux, apportant une protection contre le stress thermique, mais aussi une pousse de l’herbe plus homogène, notamment en période de sécheresse.
Non, le démantèlement est à la charge de la société de projet, et en aucun cas à celle de l’agriculteur accueillant le projet sur ses parcelles, ou de la collectivité locale (commune, EPCI…).
Par ailleurs, conformément au décret agrivoltaïsme du 8 avril 2024 n°2024-318, il est prévu la mise en séquestre de garanties financières auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations, et ce dès la construction du parc, à hauteur de 10 000 € par MWc de puissance installée pour les projets de plus de 10 MWc. Pour le projet de Donzy, ce seront donc 114 000 € qui seront consignés en cas d’impossibilité pour la société d’assurer seule le cout du démantèlement.
Les frais liés au démantèlement et au recyclage des modules photovoltaïques seront eux entièrement pris en charge par l’éco organisme SOREN, financé par le biais d’une éco taxes lors de l’achat des panneaux.
Le projet agricole et le projet énergétique sont indissociables. Energiter ne peut lancer un projet agrivoltaïque sans lien avec l’agriculteur en place et son projet agricole, afin que l’installation des panneaux s’adapte à ses besoins. Aujourd’hui, la loi oblige le démantèlement de l’installation photovoltaïque si l’activité agricole associée cesse plus de 18 mois.
Le projet énergétique contribue par ailleurs à la pérennisation de l’activité agricole de l’exploitant, dans le cadre d’une démarche partenariale avec la société Energiter, à travers notamment la mise en place d’aménagements agricoles (abreuvoirs, parcs de contention, clôtures solides etc..), ainsi qu’un partage du revenu tiré de la revente de l’électricité par le versement de loyers.
Les retombées directes, appelées mesures d’accompagnement, seront à définir ensemble, avec les habitants et les élus de la commune. Elles consistent en un financement partiel ou total d’un projet sur la commune profitant à tous et étant lié avec la transition écologique ou énergétique. Ces règles sont fixées par l’Etat. En plus de cela, le projet va générer des impôts locaux, qui iront à la commune, la communauté de commune et au département, et dont profiteront donc indirectement les administrés.
Les panneaux photovoltaïques ont plusieurs bienfaits sur l’exploitation agricole. Premièrement ils viennent apporter une zone d’ombrage supplémentaire, ce qui est bénéfique surtout en cas de forte chaleur. De plus, selon les dernières études mises en place sur l’agrivoltaïsme, les centrales solaires permettraient une production de fourrage de meilleure qualité et plus importante notamment lors des périodes chaudes, et donc une production plus importante et homogène une fois lissée sur l’année.
La vente de l’électricité va rapporter de l’argent à la société du projet. Cet argent va servir à payer un loyer au propriétaire des terrains, rembourser les investissements du projet, et payer des impôts et taxe à la commune, la communauté de communes, le département, la région et l’Etat. La vente de l’électricité est garantie à un prix fixe par l’Etat, mais ce prix évolue chaque année. Nous ne pouvons donc pas fournir un chiffre pour le prix qui sera fixé lorsque les panneaux seront installés, dans quelques années.
Sur ce type de projet, les enjeux environnementaux sont étudiés avec rigueur, en analysant les enjeux faune et flore sur les parcelles durant les quatre saisons. Pour le projet de Donzy, toutes les zones humides ont été évitées, ce qui permet de préserver ces habitats sensibles.
Sur un projet agrivoltaïque, tout est fait pour préserver au maximum les sols, en premier lieu par les techniques d’installation utilisées, évitant au maximum les fondations invasives et l’utilisation du béton. Des études de la qualité des sols seront menées avant et après l’installation des panneaux. Si une dégradation de leur qualité est détectée, celle-ci sera compensée par un apport de nutriments ou des besoins identifiés.
Tenant compte des enjeux identifiés par les premières études et des mesures d’évitement, de réduction, ainsi que les aménagements de haies engagés par Energiter, les impacts du projet de Donzy sont estimés par le bureau d’étude comme étant très faibles, voire positif pour la création de nouveaux habitats.
La centrale a une durée d’exploitation prévisionnelle de 30 à 40 ans. Pour chaque projet, un bail emphytéotique d’une durée de 40 ans est signé avec le propriétaire et l’exploitant des parcelles agricoles concernées.
La localisation et de l’installation du projet
La production d’électricité reste aujourd’hui le premier secteur le plus émetteur de CO2 dans le monde. En 2018, 41% du total des émissions est due à la combustion d’énergie.
Pour limiter l’impact du réchauffement climatique, il est indispensable de développer les énergies dites renouvelables, c’est-à-dire les énergies provenant de sources que la nature renouvelle en permanence et dont l’exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes.
La France a pour objectif que 40 % de sa production d’électricité soit issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Fin 2022, la France était à peine à 20 % de sa production d’électricité issue des énergies renouvelables, d’où l’importance d’accélérer le développement des énergies renouvelables.
Sources du Ministère de la Transition écologique et Cohésion des territoires :
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
L’importance des énergies renouvelables
La France est l’un des tous premiers pays au monde à avoir inscrit l’objectif de neutralité carbone dans sa législation à travers la loi énergie climat du 8 novembre 2019. Notre pays prévoit ainsi d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
En amont, la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé des objectifs ambitieux :
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
– Diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
– Ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
– Porter la part des énergies renouvelables à 32 % de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et à 40 % de la production d’électricité ;
– Diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici à 2050 (par rapport à 2012) ;
– Diminuer de 50 % le volume de déchets mis en décharge à l’horizon 2050.
Pour y parvenir, mais également pour diversifier le mix énergétique, assurer la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité, la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) fixe les priorités d’action de la politique énergétique du Gouvernement pour les dix prochaines années. Cette feuille de route permettra de réduire les émissions liées à la production et la consommation d’énergie et de placer la France sur la trajectoire nécessaire pour atteindre une décarbonation complète de l’énergie en 2050.
Source : La transition énergétique pour la croissance verte
Dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), les objectifs en matière d’électricité et de chaleur renouvelables pour le photovoltaïque sont de :
– 20,1 GW pour 2023
– 35,1 à 44,0 GW pour 2028
L’augmentation des capacités installées de production photovoltaïque passe par l’installation de panneaux au sol et de panneaux sur toitures.
Fin 2021, la filière solaire avait réalisé 57% de ses objectifs pour 2023.
Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2021/4-objectifs-dans-le-cadre-de
www.pv-magazine.fr/2021/10/22/le-solaire-realise-57-des-objectifs-du-ppe-pour-atteindre-les-20100-mw-en-2023/
Le choix pour l’implantation d’un projet est le croisement de nombreux critères diversifiés. En effet différents facteurs cartographiques et techniques sont à prendre en compte comme l’emplacement, l’ensoleillement, la topographie, la surface exploitable, la distance de raccordement ou encore l’existence de zones de protection de la biodiversité sur la parcelle d’étude. Par la suite, l’accord du propriétaire, le projet agricole ou encore l’appui local sont également pris en compte pour la poursuite du projet.
L’ensemble des chemins utilisés pour la construction du parc photovoltaïque, à partir de la route départementale, seront renforcés au besoin, et seront donc restitués dans le même état ou dans un état amélioré à la fin de la période de construction ainsi que lors du démantèlement de la centrale. Un constat d’huissier sera réalisé pour reconnaitre l’état antérieur du chemin.
Les rangs de panneaux seront espacés de 11 à 19 mètres les uns des autres (de poteau à poteau), afin de respecter le critère du taux de couverture d’au maximum 40%. Cet espacement évitera la perméabilisation du sol et sera adapté au fonctionnement normal de l’élevage bovin, du passage d’engins de fauche, ainsi qu’à la réversibilité du projet agricole (changement de type d’élevage par exemple).
L’électricité sera injectée dans le réseau public national à partir du poste source auquel se raccordera la centrale et permettra dans les faits d’alimenter électricité en priorité les habitants de Donzy et des communes limitrophes. Le réseau public étant centralisé, cela n’aura donc en revanche pas d’impact sur la facture d’électricité des riverains.
Non, l’ensemble des haies existantes ont été évitées par le projet. A contrario, plus de 200 mètres de haies seront plantées, notamment sur le long de la départementale D33 et proche de l’habitation au centre du site, et ce afin de réduire l’impact paysager du projet tout en créant de nouveaux habitats pour les espèces de faune et flore.
L’entretien des panneaux est réalisé par une équipe de maintenance externe, avec la supervision du service exploitation d’Energiter. L’herbe sous panneaux est entretenue par la pâture des bêtes. Les rejets éventuels seront entretenus par l’exploitant agricole, via un accord de partenariat réalisé avec la société.
L’électricité produite par les centrales d’énergie renouvelable est revendue en principe sur le marché de l’électricité européen, via un agrégateur.
Afin de garantir un revenu minimum stable pour les producteurs d’énergie photovoltaïque, l’Etat met en place par le biais de la CRE (commission de régulation de l’énergie), un appel d’offre national permettant d’assurer un prix fixe de revente pour le producteur d’électricité et éviter ainsi les fluctuations du marché. Ainsi le projet de Donzy pourrait remplir les critères de cet appel d’offre et bénéficier du tarif de revente.
A l’heure actuelle, les seuls panneaux permettant d’atteindre un rendement suffisant tout en conservant une bonne qualité sont construits en Chine. En amont de la construction de la centrale, un comparatif de la meilleure solution technique et financière sera réalisé afin de choisir les panneaux les mieux adaptés.
La concertation
La production d’électricité reste aujourd’hui le premier secteur le plus émetteur de CO2 dans le monde. En 2018, 41% du total des émissions est due à la combustion d’énergie.
Pour limiter l’impact du réchauffement climatique, il est indispensable de développer les énergies dites renouvelables, c’est-à-dire les énergies provenant de sources que la nature renouvelle en permanence et dont l’exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes.
La France a pour objectif que 40 % de sa production d’électricité soit issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Fin 2022, la France était à peine à 20 % de sa production d’électricité issue des énergies renouvelables, d’où l’importance d’accélérer le développement des énergies renouvelables.
Sources du Ministère de la Transition écologique et Cohésion des territoires :
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
L’importance des énergies renouvelables
La France est l’un des tous premiers pays au monde à avoir inscrit l’objectif de neutralité carbone dans sa législation à travers la loi énergie climat du 8 novembre 2019. Notre pays prévoit ainsi d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
En amont, la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé des objectifs ambitieux :
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
– Diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
– Ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
– Porter la part des énergies renouvelables à 32 % de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et à 40 % de la production d’électricité ;
– Diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici à 2050 (par rapport à 2012) ;
– Diminuer de 50 % le volume de déchets mis en décharge à l’horizon 2050.
Pour y parvenir, mais également pour diversifier le mix énergétique, assurer la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité, la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) fixe les priorités d’action de la politique énergétique du Gouvernement pour les dix prochaines années. Cette feuille de route permettra de réduire les émissions liées à la production et la consommation d’énergie et de placer la France sur la trajectoire nécessaire pour atteindre une décarbonation complète de l’énergie en 2050.
Source : La transition énergétique pour la croissance verte
Dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), les objectifs en matière d’électricité et de chaleur renouvelables pour le photovoltaïque sont de :
– 20,1 GW pour 2023
– 35,1 à 44,0 GW pour 2028
L’augmentation des capacités installées de production photovoltaïque passe par l’installation de panneaux au sol et de panneaux sur toitures.
Fin 2021, la filière solaire avait réalisé 57% de ses objectifs pour 2023.
Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2021/4-objectifs-dans-le-cadre-de
www.pv-magazine.fr/2021/10/22/le-solaire-realise-57-des-objectifs-du-ppe-pour-atteindre-les-20100-mw-en-2023/
Pour nous, Energiter, nous menons nos projets uniquement dans le cadre de projets de territoire, donc avec la volonté et le travail commun des habitants et élus autour de nos projets. Pour nous, faire un projet sans les habitants d’une commune n’aurait aucun sens. Nous avons ce besoin d’ancrer le projet dans le territoire pour qu’il soit pérenne, réussi et durable. Les habitants et élus sont invités à s’exprimer et à suivre le projet lors des évènements dédiés, mais aussi tout au long du développement du projet en prenant contact avec nous via ce site internet.
Bien sûr, vous pouvez nous contacter pour prendre un rendez-vous ultérieur si nécessaire pour approfondir le sujet d’un projet agrivoltaïque supplémentaire sur la commune.
Il s’agit d’une démarche volontaire, portée par Energiter, en accord avec les exploitants ainsi que la municipalité de Donzy.
Oui, une enquête publique aura lieu au moment de la phase d’instruction. Selon notre calendrier prévisionnel, elle est prévue autour de fin 2026-2027.
La concertation lancée ce jour est une démarche volontaire. Energiter mène l’ensemble de ses projets en concertation avec les acteurs locaux.
D’un point de vue réglementaire, la phase de concertation est matérialisée par l’enquête publique. Elle intervient pendant l’instruction, après le dépôt du dossier aux services de la Préfecture. Pour le projet solaire agrivoltaïque de Mont-Saint-Jean, l’enquête publique devrait avoir lieu autour de fin 2026-2027.
L’agrivoltaïsme
L’objectif des projets agrivoltaïques est de combiner efficacement la production d’énergie solaire avec l’activité agricole, créant ainsi une synergie bénéfique pour les deux activités.
Le projet ne verra le jour et ne perdurera que sous une réelle activité agrivoltaïque, c’est-à-dire que le projet énergétique et le projet agricole ne sont pas séparables l’un de l’autre.
Nous nous engageons, par ce projet, à accompagner le projet agricole depuis le développement du projet jusqu’au démantèlement des panneaux.
La réverbération gênante pour les voisins est peu probable. Les panneaux solaires modernes sont conçus pour absorber la lumière autant que possible afin de maximiser l’efficacité énergétique, ce qui réduit significativement la réverbération. Le projet est planifié avec soin pour minimiser tout impact visuel ou lumineux sur les voisins, en tenant compte des orientations et des angles des panneaux pour éviter les réflexions directes vers les habitations ou les zones sensibles.
Des masques paysager (plantations de végétaux) pourront être proposés aux riverains afin de limiter l’impact visuel sur le parc.
L’herbe et d’autres végétations peuvent pousser sous les panneaux solaires. Les installations agrivoltaïques sont conçues pour permettre une certaine quantité de lumière solaire de passer à travers ou autour des panneaux. Les panneaux sont souvent installés à une hauteur suffisante pour permettre la croissance de l’herbe et d’autres plantes, et ils sont espacés pour éviter de couvrir complètement la parcelle. En fait, l’ombre partielle des panneaux peut réduire le stress hydrique des plantes et aider à maintenir une couverture végétale saine, ce qui est bénéfique pour l’écosystème de la parcelle.
Une récente étude menée sur plusieurs parcs agrivoltaïques par l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) montre des tendances positives similaires observées avec une baisse de la température et une augmentation de l’humidité du sol sous les panneaux solaires, ainsi qu’une meilleure qualité du fourrage, plus digeste pour les bêtes.
En février 2023, a été créé avec l’INRAE un pôle national de recherche, innovation et enseignement sur la thématique de l’agrivoltaïsme (PNR AgriPV) visant à fédérer les recherches conduites en France autour de la production agricole et électrique. Rassemblant des acteurs publics et privés, ce pôle doit permettre le développement raisonné de la technologie photovoltaïque sur les terres agricoles, en cohérence avec la loi votée au Sénat en février 2023 encadrant l’agrivoltaïsme.
https://www.inrae.fr/actualites/agrivoltaisme-creation-dun-pole-national-recherche-innovation-enseignement
Tous les toits ne sont pas adaptables pour y installer des panneaux (orientation inadaptée, ombrage, problème de structure portante, toiture aimantée etc…). La charge financière des panneaux sur toiture reposant sur le propriétaire, leur implantation dépend également de ses ressources et des aides locales et nationales.
Aussi, l’intérêt est de pouvoir produire de l’énergie bas carbone grâce à des sources et des installations variées, qui s’adaptent à leur environnement, afin de couvrir les besoins en électricité localement pour chaque région en France.
La limite maximum d’hectares de panneaux sur un territoire va dépendre de l’impact résiduel des projets. Les études paysagères, environnementales et agricoles vont déterminer les surfaces acceptables pour le territoire.
A savoir, depuis mars 2023, la loi relative à l’accélération de la production d’énergies renouvelables (loi « APER ») donne l’obligation à chaque commune de définir des zones dites « d’accélération » pour le déploiement des projets, ceci dans le but d’atteindre les objectifs d’installation d’énergies renouvelables sur le territoire national.
Oui, les panneaux solaires sont recyclables en France. La filière de recyclage des panneaux photovoltaïques est bien développée grâce à des organisations comme l’éco-organisme Soren, agréé par les pouvoir publics, et qui collecte et recycle les panneaux en fin de vie. Environ 94% des matériaux des panneaux, tels que le verre, l’aluminium, et le silicium, peuvent être récupérés et réutilisés, les 6 % restants étant principalement constitués de plastiques, polymères et résines, matériaux complexes et coûteux à traiter, ils sont donc revalorisés en chaleur par incinération.
Nous réalisons des projets principalement pour des élevages ovins et bovins. La principale différence sur ces projets va être la hauteur des panneaux.
Sur un élevage bovin les panneaux sont élevés à 2,5 m du sol pour la tranche inférieure et 4.1m pour la tranche supérieure. Pour l’ovin, la hauteur passe à 1,2 m au plus bas et 2,7 m au plus haut.
Le taux de couverture des panneaux par rapport à la parcelle agricole reste lui de 40 % au maximum, quel que soit le type d’élevage.
Le photovoltaïque
La production d’électricité reste aujourd’hui le premier secteur le plus émetteur de CO2 dans le monde. En 2018, 41% du total des émissions est due à la combustion d’énergie.
Pour limiter l’impact du réchauffement climatique, il est indispensable de développer les énergies dites renouvelables, c’est-à-dire les énergies provenant de sources que la nature renouvelle en permanence et dont l’exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes.
La France a pour objectif que 40 % de sa production d’électricité soit issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Fin 2022, la France était à peine à 20 % de sa production d’électricité issue des énergies renouvelables, d’où l’importance d’accélérer le développement des énergies renouvelables.
Sources du Ministère de la Transition écologique et Cohésion des territoires :
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
L’importance des énergies renouvelables
La France est l’un des tous premiers pays au monde à avoir inscrit l’objectif de neutralité carbone dans sa législation à travers la loi énergie climat du 8 novembre 2019. Notre pays prévoit ainsi d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
En amont, la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé des objectifs ambitieux :
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
– Diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
– Ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
– Porter la part des énergies renouvelables à 32 % de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et à 40 % de la production d’électricité ;
– Diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici à 2050 (par rapport à 2012) ;
– Diminuer de 50 % le volume de déchets mis en décharge à l’horizon 2050.
Pour y parvenir, mais également pour diversifier le mix énergétique, assurer la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité, la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) fixe les priorités d’action de la politique énergétique du Gouvernement pour les dix prochaines années. Cette feuille de route permettra de réduire les émissions liées à la production et la consommation d’énergie et de placer la France sur la trajectoire nécessaire pour atteindre une décarbonation complète de l’énergie en 2050.
Source : La transition énergétique pour la croissance verte
Dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), les objectifs en matière d’électricité et de chaleur renouvelables pour le photovoltaïque sont de :
– 20,1 GW pour 2023
– 35,1 à 44,0 GW pour 2028
L’augmentation des capacités installées de production photovoltaïque passe par l’installation de panneaux au sol et de panneaux sur toitures.
Fin 2021, la filière solaire avait réalisé 57% de ses objectifs pour 2023.
Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2021/4-objectifs-dans-le-cadre-de
www.pv-magazine.fr/2021/10/22/le-solaire-realise-57-des-objectifs-du-ppe-pour-atteindre-les-20100-mw-en-2023/
Oui, il y a une différence entre les deux types de panneaux :
– Un panneau solaire transforme l’énergie solaire en chaleur. Il est notamment utilisé pour avoir de l’eau chaude sanitaire.
– Un panneau photovoltaïque transforme la lumière du soleil en électricité
Le type de panneaux utilisé pour le projet de Mont-Saint-Jean sera photovoltaïque.
Non, la technologie silicium utilisée aujourd’hui ne permet pas de récupérer les reflets du soleil transmis par la lune. Même si l’on pouvait récupérer un semblant de puissance, celle-ci serait infime comparé à ce qui pourrait être produit en une journée.
Source : www.lesolairepourtous.fr/faq/
Ce sont des structures métalliques qui supporteront les panneaux. Les technologies précises seront définies dans le cadre de la conception détaillée du projet.
Les énergies renouvelables
La production d’électricité reste aujourd’hui le premier secteur le plus émetteur de CO2 dans le monde. En 2018, 41% du total des émissions est due à la combustion d’énergie.
Pour limiter l’impact du réchauffement climatique, il est indispensable de développer les énergies dites renouvelables, c’est-à-dire les énergies provenant de sources que la nature renouvelle en permanence et dont l’exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes.
La France a pour objectif que 40 % de sa production d’électricité soit issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Fin 2022, la France était à peine à 20 % de sa production d’électricité issue des énergies renouvelables, d’où l’importance d’accélérer le développement des énergies renouvelables.
Sources du Ministère de la Transition écologique et Cohésion des territoires :
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
L’importance des énergies renouvelables
La France est l’un des tous premiers pays au monde à avoir inscrit l’objectif de neutralité carbone dans sa législation à travers la loi énergie climat du 8 novembre 2019. Notre pays prévoit ainsi d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
En amont, la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé des objectifs ambitieux :
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
– Diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
– Ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
– Porter la part des énergies renouvelables à 32 % de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et à 40 % de la production d’électricité ;
– Diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici à 2050 (par rapport à 2012) ;
– Diminuer de 50 % le volume de déchets mis en décharge à l’horizon 2050.
Pour y parvenir, mais également pour diversifier le mix énergétique, assurer la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité, la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) fixe les priorités d’action de la politique énergétique du Gouvernement pour les dix prochaines années. Cette feuille de route permettra de réduire les émissions liées à la production et la consommation d’énergie et de placer la France sur la trajectoire nécessaire pour atteindre une décarbonation complète de l’énergie en 2050.
Source : La transition énergétique pour la croissance verte
Dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), les objectifs en matière d’électricité et de chaleur renouvelables pour le photovoltaïque sont de :
– 20,1 GW pour 2023
– 35,1 à 44,0 GW pour 2028
L’augmentation des capacités installées de production photovoltaïque passe par l’installation de panneaux au sol et de panneaux sur toitures.
Fin 2021, la filière solaire avait réalisé 57% de ses objectifs pour 2023.
Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2021/4-objectifs-dans-le-cadre-de
www.pv-magazine.fr/2021/10/22/le-solaire-realise-57-des-objectifs-du-ppe-pour-atteindre-les-20100-mw-en-2023/
La production d’électricité reste aujourd’hui le premier secteur le plus émetteur de CO2 dans le monde. En 2018, 41% du total des émissions est due à la combustion d’énergie.
Pour limiter l’impact du réchauffement climatique, il est indispensable de développer les énergies dites renouvelables, c’est-à-dire les énergies provenant de sources que la nature renouvelle en permanence et dont l’exploitation engendre très peu de déchets et d’émissions polluantes.
La France a pour objectif que 40 % de sa production d’électricité soit issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Fin 2022, la France était à peine à 20 % de sa production d’électricité issue des énergies renouvelables, d’où l’importance d’accélérer le développement des énergies renouvelables.
Sources du Ministère de la Transition écologique et Cohésion des territoires :
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
L’importance des énergies renouvelables
La France est l’un des tous premiers pays au monde à avoir inscrit l’objectif de neutralité carbone dans sa législation à travers la loi énergie climat du 8 novembre 2019. Notre pays prévoit ainsi d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici à 2050.
En amont, la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte a fixé des objectifs ambitieux :
– Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
– Diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
– Ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
– Porter la part des énergies renouvelables à 32 % de la consommation énergétique finale d’énergie en 2030 et à 40 % de la production d’électricité ;
– Diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici à 2050 (par rapport à 2012) ;
– Diminuer de 50 % le volume de déchets mis en décharge à l’horizon 2050.
Pour y parvenir, mais également pour diversifier le mix énergétique, assurer la sécurité d’approvisionnement et la compétitivité, la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) fixe les priorités d’action de la politique énergétique du Gouvernement pour les dix prochaines années. Cette feuille de route permettra de réduire les émissions liées à la production et la consommation d’énergie et de placer la France sur la trajectoire nécessaire pour atteindre une décarbonation complète de l’énergie en 2050.
Source : La transition énergétique pour la croissance verte
Dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE), les objectifs en matière d’électricité et de chaleur renouvelables pour le photovoltaïque sont de :
– 20,1 GW pour 2023
– 35,1 à 44,0 GW pour 2028
L’augmentation des capacités installées de production photovoltaïque passe par l’installation de panneaux au sol et de panneaux sur toitures.
Fin 2021, la filière solaire avait réalisé 57% de ses objectifs pour 2023.
Source : www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/edition-numerique/chiffres-cles-energies-renouvelables-2021/4-objectifs-dans-le-cadre-de
www.pv-magazine.fr/2021/10/22/le-solaire-realise-57-des-objectifs-du-ppe-pour-atteindre-les-20100-mw-en-2023/